Le groupe a pour objectif de réduire ses émissions de gaz à effet de serre lié au transport notamment grâce au lancement de projets tel que le déploiement du transport ferroviaire comme alternative à l’avion, mais aussi avec la mise en place de flux directs assurant une liaison directe de marchandise entre le pays producteur et le pays distributeur, sans passer par la France.
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Optimiser les infrastructures, les transports et la logistique
La distribution « amont » couvre les flux de marchandises entre les fournisseurs et les plateformes logistiques du Groupe, et la distribution « aval » inclut la logistique entre les entrepôts et les magasins. Cela se traduit au niveau du Groupe par un travail d’optimisation des transports amont et aval mais également par l’exploration de nouveaux modes de transports.
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Le transport maritime représente une grande majorité des flux de marchandise amont : 90% en 2019[1] contre 88% en 2018 et 86% en 2017. Bien que le transport aérien soit utilisé, le Groupe ETAM favorise au maximum le transport maritime pour limiter son impact. Une fois au port du Havre ou à l’aéroport de Roissy, les produits sont transportés vers les entrepôts par camion ou par voie fluviale (2% de la marchandise).
Le Groupe travaille sur la fiabilisation du transport ferroviaire afin d’en faire une alternative au transport aérien. En utilisant ces nouvelles "Routes de la soie" déployées par la Chine pour renforcer ses échanges commerciaux avec l'Europe, le Groupe compte continuer de réduire ses émissions de gaz à effets de serre.
La mise en place de flux direct nous permet de livrer la Thaïlande et le Mexique directement depuis l’Asie, diminuant ainsi le nombre de kilomètres parcourus et les émissions de gaz à effet de serre associées.
Le transport aval couvre ensuite les flux d’approvisionnement par camion depuis les entrepôts vers les points de vente[2], et concerne à la fois les produits ainsi que le matériel promotionnel. En 2019, ces flux routiers ont généré 650 tonnes de CO2e.
En 2018, 13% de réductions des émissions de CO2e sur le transport amont des marchandises par rapport à 2017